Paris, Chacornac, Editeur, 1905.Auteur : Léonce Eugène Joseph Fabre des Essarts
In-12 de XVII-357 pp., 7 portraits hors texte. Bel envoi autographe signé à un "vieux camarade". Rare édition originale.
Etude des religions nouvelles : Fouché, Chaumette, Chantreau et le culte de la Raison. Robespierre et l'être suprême. J.-B. Chemin, Valentin Haüy et les Théophilanthropes. L'Eglise de Ménilmontant et le Père Enfantin. L'abbé Châtel et l'Eglise Française. Fabre Palaprat et le culte Templier. Les Swedenborgiens. Auguste Comte et le culte de l'Humanité. Tourreil et le Fusionisme. Fabre d'Olivet. Vintras, Boullan et la Religion du Carmel. L'abbé Julio et l'Eglise catholique libre. Valentin, Sophronius (Fugairon), Synésius et l'Eglise néo-gnostique.
Fabre des Essarts (1848-1917) fut l'un des premiers membres de l'Eglise Gnostique fondée par Jules Doinel, qui après avoir «consacré» trois évêques, Papus (S.G. Vincent), Sédir (S.G. Paul), Chamuel (S.G. Bardesanes), en 1892, constituant ainsi le Saint Synode Gnostique, «consacra», en septembre 1894, Fabre des Essarts sous le nom de Tau Synésius, Evêque de Bordeaux. Fabre des Essarts deviendra Patriarche de l'Eglise Gnostique. Il sera le fondateur de la revue La Gnose, qu'il dirigera avec René Guénon.
